La Gentle Factory, la petite marque qui grimpe, qui grimpe…
Publié le 20 novembre 2019|
Quand Christèle Merter a imaginé la Gentle Factory, il s’agissait de concevoir des vêtements de manière écoresponsable et 100 % made in France. Aujourd’hui, cette ingénieure textile formée à l’Ensait vise le 100 % made in Roubaix.
La marque a vu le jour en 2013 à Roubaix, du côté d’Happychic qui regroupe notamment les marques Brice et Jules. Christèle Merter, à l’origine du projet, souhaitait penser le vêtement différemment. Feu vert de la part de sa direction. La jeune femme n’a pas ménagé sa peine, et quand, courant 2018, le groupe pour lequel elle travaillait a souhaité recentrer ses activités, c’est tout naturellement que cette dernière a repris les rênes de la Gentle Factory.
Associée à Christophe Bérard, elle en est désormais la présidente, et vole, avec son équipe qui l’a suivie – une dizaine de personnes –, de ses propres ailes.
Début 2019, l’enseigne a installé ses bureaux du côté de l’ancienne filature Cavrois-Mahieu. C’est là, désormais, que les collections sont imaginées. Des collections toujours en adéquation avec les engagements de la marque inscrite plus que jamais dans le made in France.
Après le thème de l’eau cet été, c’est le thème du zéro gâchis qui a été choisi pour asseoir la campagne automne-hiver. Les séries de vêtements masculins et féminins se déclinent en couleur autour d’un fil conducteur qui n’est pas sans rappeler la démarche Zéro Déchet de la Ville.