Au dernier conseil de la MEL, la quasi-unanimité des élus a voté une délibération pour la gratuité des transport publics les jours de pics de pollution de l’air.
Les conséquences espérées sont que les usagers se tournent vers les transports en commun pour vaquer à leurs occupations et délaissent leur véhicule.
Tout çà part d’un bon sentiment et d’une bonne opportunité électorale, mais ce cadeau aura un coût financier et opérationnel qui n’a pas été évalué.
Nous craignons que ce genre de décision aboutisse au durcissement des conditions de circulation des véhicules anciens et leur interdiction en ville.
Qui a pensé à la mère de famille forcée d’utiliser sa voiture d’occasion pour conduire ses enfants à la crèche, l’école ou le sport et qui doit faire ses courses ?

Jean-Pierre Legrand, Astrid Leplat, Pascal Dillies
Pour le groupe « Roubaix ambitieuse et patriote »