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Vivez la fièvre de Paris-Roubaix

Publié le 16 mars 2017|

Les 5 commandements pour gagner la 115ème Édition!
Ils seront quelques 200 coureurs à s’élancer à l’assaut du Paris-Roubaix le dimanche 9 avril prochain. Mais seule une poignée de champions pourra prétendre à la victoire finale. Gagner une course professionnelle n’est déjà pas donné à tout le monde, mais s’imposer à Roubaix, dans cette épreuve mythique que l’on appelle « la dure des dures », nécessite de respecter scrupuleusement la recette suivante, faite de cinq ingrédients. Parmi ceux-là, une bonne dose de puissance, un soupçon de stratégie et un zeste de réussite sont incontournables…

1 – « Avoir un gros moteur ! »

Dans le jargon du cyclisme, c’est ce que l’on dit des coureurs les plus puissants, les plus endurants, et dont le coup de pédale peut faire la différence notamment sur une épreuve difficile et longue de 257 kilomètres. On pense bien entendu à des pointures comme le Suisse Fabian Cancellara, déjà vainqueur à trois reprises mais aussi le Slovaque Peter Sagan, double champion du monde en titre, mais qui n’a jamais réussi à tirer son épingle du jeu à Roubaix.

2 – « Bien passer les pavés ! »

Les pavés, on aime ou on déteste mais ils sont incontournables dans la reine des classiques. Les secteurs pavés sont cette année au nombre de 29 et représentent 55 kilomètres, soit presque un quart de la course ! Autant dire qu’il faut être capable de jouer les virtuoses sur ce revêtement typiquement ch’ti !

3 – « Prendre le bon wagon ! »

Sur Paris-Roubaix, les attaques sont légion et les cassures sont nombreuses. Il faut savoir attendre son heure et prendre la bonne roue… En la matière, chaque champion doit pouvoir compter sur son équipe, afin que l’un de ses coéquipiers l’emmène le plus loin possible.

4 – « Être expérimenté et chanceux »

Et ce n’est pas Tom Boonen qui vous dira le contraire. Le Belge, qui s’est déjà imposé quatre fois (2005, 2008, 2009 et 2012) et qui compte aussi une troisième place (2002) et deux deuxièmes places (2006 et 2016), connaît l’épreuve comme personne. Lui qui prendra sa retraite au lendemain de sa dernière participation, sait malgré tout qu’un brin de réussite est incontournable pour pouvoir soulever le pavé de la victoire au cœur du vélodrome roubaisien…

5 – « Eviter les ennuis… »

Ca ne suffit pas pour gagner, mais c’est primordial pour ne pas perdre. Le futur vainqueur devra passer entre les gouttes et éviter les chutes, crevaisons ou autres ennuis mécaniques. Car dans l’Enfer du Nord, le moindre petit souci peut être synonyme de longues minutes perdues sur la tête de course.

Tom Boonen à l'arrivée au vélodrome en 2016

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Podium de la 114e édition
Paris-Roubaix Challenge 2016

Paris-Roubaix en 3 jours

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Vendredi 7 avril : 5ème Nuit Digestscience

Samedi 9 et dimanche 9 avril : Sur les pavés la fête

Samedi 8 avril : Paris-Roubaix Challenge

Dimanche 9 avril : Paris-Roubaix Juniors
115ème Édition de Paris-Roubaix

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